les bus... ça faisait une paye que je n'en avait pas parlé...
eh oui... et même plus d'une paye si on considère que celle ci tombe régulièrement tous les mois.
C'est pas pour autant qu'il ne se passe rien d'intéressant dans les bus. Les controleurs sont toujours aussi disons mauvais, l'accueil peu accueillant et les conducteurs(trices) souriant et se prenant les troittoirs.
Mais là, quand même la semaine dernière je dois dire qu'ils ont fait fort. Entre la fac & la gare, il ya 25 min de trajet (on se passera de dire que 12 en vélo & grillant les feux rouges suffisent). En partant vers 16h - 16h15, on peut espérer d'arriver à la gare pour le train de 16h35. Je dis bien "espérer" parce qu'entre temps on passe devant un collège dont l'adresse peut en faire frissonner plus d'un.
Bref, des étudiants prévoyants s'étaient dit "On prends notre sac de voyage, on saute dans le bus en sortant des cours et comme ça, on prend le premier train".
Bien vu.
Le bus s'arrête donc à leur arrêt, normal.
Le bus s'arrête à l'arrêt suivant, normal.
Le bus continue jusqu'à l'arrêt suivant, logique.
Sauf que c'est un arrêt "centre d'échange". Ça veut dire que plusieurs lignes se rejoingent en un même lieu, et que le terrain est aménagé de telle sorte qu'il y ait plein d'arrêt (en vérité, il ne doit pas y avoir bien plus de 3 ou 4 lignes qui y passe)et que ça ne soit pas sur la route donc c'est dans un coin du carrefour. Carrefour en triangle (grand quand même) dans les arrêts prennent facilement les 3/4 de la place. Certains bus ne voulant pas faire le détour continuent tous droit sur la route, s'arrêtent au bord pour prendre ou lacher les usagers.
Là, on a eu un bus qui voualait faire ça das les règles, donc premier virage sur la droite, un peu raide pour rentrer sur les arrêts suivit directement d'un deuxième virage sur la gauche pour prendre le bon emplacement de la ligne.
Ce qui est cool sur ces "centres d'échange" c'est que l'on est sur d'y trouver des abris bus. Ce qui n'est pas le cas des arrêts pour la fac (non, on n'est pas en altitude, quand il pleut en ville à +3°C, chez nous au lieux de faire 10°C de moins il en fait 10 de plus et donc il ne pleut pas, il neige. pas besoin d'abris, la neige ni ne mouille ni ne glisse)
Eh bien, là l'arrête de bus il a été pour le rétro droit.
Vous savez celui qui n'est pas obligatoire sur les voitures et dont le nombre de voitures ne possédant pas ce rétroviseur et en chute libre.
Bon le chauffeur s'arrête, normal. Il essaye tant bien que mal de repositionner son rétro, peine perdue.
C'est là que je remarque pour de bon les étudiants voulant prendre le train. Il se disent "c'est bon, on est dans les temps"
Le chauffeur remonte et pose son rétro à coté de son tableau de bord (je sais pas si vous avez déjà vu un rétro de bus démonté, mais c'est assez énorme, et on comprends pourquoi ça fait mal quand on s'en prend un sur la tête).
Bref, le bus repart avec un retro de moins (rho, c'est bon le miroir ne s'était même pas cassé) - no stress
Quelques arrêts suivants, début de la torture, sortie du collège.
Pff, c'que c'est bruyant un collégien, ou plutôt une bande de collégiens (ça commence à 2 malheureusement) alors quand on en met plusieurs côte à côte, on n'a plus qu'à espérer que celle ci s'entendent pas trop mal ou qu'elles s'ignorent (ce qui est finalement la solution la plus calme) ce qui est horrible c'est si elles s'entende comme larron en foire. Parce que la foire, dans le petit bus à soufflet, elles sont capable de la recréer.
La on a eut de la chance elles furent calme, le chauffeur n'a pas eu besoin de jouer au policier & au voleur.
Par contre à l'arrêt d'après ce fut un pet plus stressant.
un tout petit pet. Oh non, ce n'est pas à cause du fauteuil qui a du monter dans le bus. Bah quoi, oui je sais maintenant, quand y'a un fauteuil qui veut monter faut pas vouloir ouvrir les portes il faut l'indiquer gentiment au chauffeur s'il ne l'a pas remarqué (mais bon, c'est pas con un chauffeur, ça voit dans les parebrises fendus ce qui va monter comme clientèle) et apres, il met en marche le super dispositif. Le super dispositif en fait, c'est juste qui rmape qui sort au niveau de la porte du milieu et uniquement quand les portes sont fermées, et ce accompagné d'un "Tuuuu Tuuu" un peu... lassant. une fois que la rampe est sortie entièrement, qu'elle repose sur le trottoir parce que le bus s'est "couché", les portes s'ouvrent et le fauteuil peut monter. L'opération inverse peut alors commencer. (les portes ferment, la sonnerie, la rampe...)
Tout ça n'aurait pas fait stresser nos petits étudiants si une cliente ne s'était pas pris le chou avec le chauffeur pour une histoire de ticket si j'ai bien compris.
Les chauffeurs sont patients... ils passent toute la journée à dire "bonjour", "1€10 s'il vous plait", "merci" sauf quand il viennent de perdre leur rétro.
Donc une fois seulement que la prise de bec fut finie la rampe se mit à sortir. (elle met quoi... 1 min à sortir ?)
Et la les petit étudiants ont comencé à élaborer des plans pour trouver une tactique pour éviter d'avoir à tous prendre les tickets avant de monter dans le train. C'est quelqu'un qui va les chercher pour tout le monde, ils les prennent direct dans le train - non, si la controleuse est trop méchante, ils auront le surplus... Comment faire ?
Ben déjà attendre que le bus arrive.
No stress, il est 16h20 et il reste un quart d'heure de trajet si on se prend les feux rouges ou les embouteillages.
"À l'aise les mecs, vous êtes dans le train à 35"
Si même les potes le disent... fau tles croire.
On a eu de la chance, pas d'embouteillage, mais les feux rouges habituels.
Deux arrêts avant la gare, relax les mecs, oui le train vous attends, on est est à imaginer qu'à pieds, ce sera plus rapide. Au final, à pieds, non ça n'est pas plus rapide... Si on descend l'arrêt d'avant la gare et que le bus se retrouve bloqué, oui c'est plus rapide, sinon non. J'ai déjà testé.
Au final, je ne saurais pas s'il ont pu prendre leur train – je suis descendue avant eux. mais il était déjà 35 deux arrêts avant la gare.
Au pire, c'est pas grave, notre gentil conseil régionnal a rajouter des trains. Maintenant pour chaque direction (Lyon/ Valence) y'a un train toutes les heures. Et a 1/4 d'heure d'écart entre les deux trains. donc faut pas s'étonner si y'en a un qui disparait au milieu. De toute manière jusqu'à Aix les Bains, c'est le même et unique voie qu'ils empreintent.
Je précise qu'il y a 3 ans, y'a un depart toutes les 45/60 min pour ces directions. Et bien organisés. Y'avait un départ toutes les 25 mins et non 3 en 15 mins puis plus rien pendant une heure.
Bref, pour finir sur les bus, on peut observer qu'il y a eu un gros effort de concertation entre les départs des trains et les arrivées des bus. Ceux ci arrivent entre 5 min avant le départ de deux la et 10 après.
bien vu. vraiment.
C'est pas pour autant qu'il ne se passe rien d'intéressant dans les bus. Les controleurs sont toujours aussi disons mauvais, l'accueil peu accueillant et les conducteurs(trices) souriant et se prenant les troittoirs.
Mais là, quand même la semaine dernière je dois dire qu'ils ont fait fort. Entre la fac & la gare, il ya 25 min de trajet (on se passera de dire que 12 en vélo & grillant les feux rouges suffisent). En partant vers 16h - 16h15, on peut espérer d'arriver à la gare pour le train de 16h35. Je dis bien "espérer" parce qu'entre temps on passe devant un collège dont l'adresse peut en faire frissonner plus d'un.
Bref, des étudiants prévoyants s'étaient dit "On prends notre sac de voyage, on saute dans le bus en sortant des cours et comme ça, on prend le premier train".
Bien vu.
Le bus s'arrête donc à leur arrêt, normal.
Le bus s'arrête à l'arrêt suivant, normal.
Le bus continue jusqu'à l'arrêt suivant, logique.
Sauf que c'est un arrêt "centre d'échange". Ça veut dire que plusieurs lignes se rejoingent en un même lieu, et que le terrain est aménagé de telle sorte qu'il y ait plein d'arrêt (en vérité, il ne doit pas y avoir bien plus de 3 ou 4 lignes qui y passe)et que ça ne soit pas sur la route donc c'est dans un coin du carrefour. Carrefour en triangle (grand quand même) dans les arrêts prennent facilement les 3/4 de la place. Certains bus ne voulant pas faire le détour continuent tous droit sur la route, s'arrêtent au bord pour prendre ou lacher les usagers.
Là, on a eu un bus qui voualait faire ça das les règles, donc premier virage sur la droite, un peu raide pour rentrer sur les arrêts suivit directement d'un deuxième virage sur la gauche pour prendre le bon emplacement de la ligne.
Ce qui est cool sur ces "centres d'échange" c'est que l'on est sur d'y trouver des abris bus. Ce qui n'est pas le cas des arrêts pour la fac (non, on n'est pas en altitude, quand il pleut en ville à +3°C, chez nous au lieux de faire 10°C de moins il en fait 10 de plus et donc il ne pleut pas, il neige. pas besoin d'abris, la neige ni ne mouille ni ne glisse)
Eh bien, là l'arrête de bus il a été pour le rétro droit.
Vous savez celui qui n'est pas obligatoire sur les voitures et dont le nombre de voitures ne possédant pas ce rétroviseur et en chute libre.
Bon le chauffeur s'arrête, normal. Il essaye tant bien que mal de repositionner son rétro, peine perdue.
C'est là que je remarque pour de bon les étudiants voulant prendre le train. Il se disent "c'est bon, on est dans les temps"
Le chauffeur remonte et pose son rétro à coté de son tableau de bord (je sais pas si vous avez déjà vu un rétro de bus démonté, mais c'est assez énorme, et on comprends pourquoi ça fait mal quand on s'en prend un sur la tête).
Bref, le bus repart avec un retro de moins (rho, c'est bon le miroir ne s'était même pas cassé) - no stress
Quelques arrêts suivants, début de la torture, sortie du collège.
Pff, c'que c'est bruyant un collégien, ou plutôt une bande de collégiens (ça commence à 2 malheureusement) alors quand on en met plusieurs côte à côte, on n'a plus qu'à espérer que celle ci s'entendent pas trop mal ou qu'elles s'ignorent (ce qui est finalement la solution la plus calme) ce qui est horrible c'est si elles s'entende comme larron en foire. Parce que la foire, dans le petit bus à soufflet, elles sont capable de la recréer.
La on a eut de la chance elles furent calme, le chauffeur n'a pas eu besoin de jouer au policier & au voleur.
Par contre à l'arrêt d'après ce fut un pet plus stressant.
un tout petit pet. Oh non, ce n'est pas à cause du fauteuil qui a du monter dans le bus. Bah quoi, oui je sais maintenant, quand y'a un fauteuil qui veut monter faut pas vouloir ouvrir les portes il faut l'indiquer gentiment au chauffeur s'il ne l'a pas remarqué (mais bon, c'est pas con un chauffeur, ça voit dans les parebrises fendus ce qui va monter comme clientèle) et apres, il met en marche le super dispositif. Le super dispositif en fait, c'est juste qui rmape qui sort au niveau de la porte du milieu et uniquement quand les portes sont fermées, et ce accompagné d'un "Tuuuu Tuuu" un peu... lassant. une fois que la rampe est sortie entièrement, qu'elle repose sur le trottoir parce que le bus s'est "couché", les portes s'ouvrent et le fauteuil peut monter. L'opération inverse peut alors commencer. (les portes ferment, la sonnerie, la rampe...)
Tout ça n'aurait pas fait stresser nos petits étudiants si une cliente ne s'était pas pris le chou avec le chauffeur pour une histoire de ticket si j'ai bien compris.
Les chauffeurs sont patients... ils passent toute la journée à dire "bonjour", "1€10 s'il vous plait", "merci" sauf quand il viennent de perdre leur rétro.
Donc une fois seulement que la prise de bec fut finie la rampe se mit à sortir. (elle met quoi... 1 min à sortir ?)
Et la les petit étudiants ont comencé à élaborer des plans pour trouver une tactique pour éviter d'avoir à tous prendre les tickets avant de monter dans le train. C'est quelqu'un qui va les chercher pour tout le monde, ils les prennent direct dans le train - non, si la controleuse est trop méchante, ils auront le surplus... Comment faire ?
Ben déjà attendre que le bus arrive.
No stress, il est 16h20 et il reste un quart d'heure de trajet si on se prend les feux rouges ou les embouteillages.
"À l'aise les mecs, vous êtes dans le train à 35"
Si même les potes le disent... fau tles croire.
On a eu de la chance, pas d'embouteillage, mais les feux rouges habituels.
Deux arrêts avant la gare, relax les mecs, oui le train vous attends, on est est à imaginer qu'à pieds, ce sera plus rapide. Au final, à pieds, non ça n'est pas plus rapide... Si on descend l'arrêt d'avant la gare et que le bus se retrouve bloqué, oui c'est plus rapide, sinon non. J'ai déjà testé.
Au final, je ne saurais pas s'il ont pu prendre leur train – je suis descendue avant eux. mais il était déjà 35 deux arrêts avant la gare.
Au pire, c'est pas grave, notre gentil conseil régionnal a rajouter des trains. Maintenant pour chaque direction (Lyon/ Valence) y'a un train toutes les heures. Et a 1/4 d'heure d'écart entre les deux trains. donc faut pas s'étonner si y'en a un qui disparait au milieu. De toute manière jusqu'à Aix les Bains, c'est le même et unique voie qu'ils empreintent.
Je précise qu'il y a 3 ans, y'a un depart toutes les 45/60 min pour ces directions. Et bien organisés. Y'avait un départ toutes les 25 mins et non 3 en 15 mins puis plus rien pendant une heure.
Bref, pour finir sur les bus, on peut observer qu'il y a eu un gros effort de concertation entre les départs des trains et les arrivées des bus. Ceux ci arrivent entre 5 min avant le départ de deux la et 10 après.
bien vu. vraiment.